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10éme circonscription des hauts de seine - Page 3

  • GABRIEL ATTAL DEPUTE DE VANVES, VICTIME DU SECTARISME DE SON PREDECESSEUR UDI

    Les aventures du député Gabriel Attal (LREM) de la 10éme circonsciption des Hauts de Seine pour ouvrir une permanence à Issy les Moulineaux sont épique. Il avait trouvé un local occupé auparavant par Bouygues Telecom, à Corentin Celton, à côté d’un restaurant spécialisé dans le couscous,  Lharissa. Mais voilà, l’ex-député UDI de la circonscription, maire d’Issy les Moulineaux lui a fait savoir que c’était impossible parce que le PLU prévoit dans ce secteur que ce genre de local ne peut avoir qu’une destination commerciale. Et qu’au cas où ? Ce qui lui aurait fait renoncer à ce projet d’ouvrir une permanence en ce lieu, pour éviter tout contentieux

    Mais souvenez-vous, voilà un an, à quelques 50 métres de là, devant la fontaine de la rue Minard, n’y avait il pas une permanence politique du malheureux jeune poulain UDI du député Maire sortant, dans un local commercial occupé aujourd’hui par une société de crédit, Empruntis, dans un quartier où le PLU l’interdit ? Deux poids, deux mesures ? Car généralement la révision d’un PLU demande plus d’un an.   D'ailleurs, il  ne s’est pas appliqué pour qu’une banque succède à un certain commerce de chaussures au début de l’avenue Victor Cresson, ce qui a fait réagir un certain nombre de commerçants et de riverains du quartier parait il.

    Mais Il est vrai que le mentor du maire de Vanves a menacé de couper les vivres (subventions municipales) de certaines associations iséennes (notamment arméniennes) si elles continuaient à inviter le député Gabriel Attal à leurs activités. Voilà le sens de la démocratie à l’UDI dans ce secteur des Hauts de Seine où certains de ses élus font la danse du ventre devant les élus d’en marche en vu des prochaines municipales. Ne faudrait il pas que les élus centristes accordent leur violon ?

     

  • L’EVENEMENT DU WEEK END A VANVES : Première grande émission politique pour Gabriel Attal, député de Vanves

    Gabriel Attal député LREM deVanve/Issy (10éme circonscription des Hauts de Seine) a participé à sa première grande émission politique dominicale sur France Inter « Questions politiques » hier à l’heure du déjeuner. Un événement historique. Jamais à Vanves et dans la circonscription, un homme ou une femme politique a participé à une telle émission, interrogé pendant une heure par des journalistes. En 30 ans de députation, ce n’a pas été le cas pour André Santini, en dehors des émissions humoristiques. D’ailleurs, au Conseil Territorial de GPSO, Jeudi dernier, il aurait apostrophé le maire de Vanves en lui reprochant de faire la danse du ventre autour du député, en vu des prochaines municipales. Le maire d’Issy les Moulineaux  poursuit de sa vindicte celui qui l’a remplace à l’Assemblée Nationale, à tel point qu’il a menacé, par courrier, des associations arméniennes isséennes de leur couper leurs subventions, si elles continuent à l’inviter  à leurs manifestations.

    En attendant, sur France Inter, Gabriel Attal a joué la différence, en ne cachant pas que son rêve était de devenir député, qu’il le restera tant qu’il faudra aider le président Macron à appliquer sapolitique, mais qu’il n’a pas l’intention de faire de la politique pendant 30 à 50 ans. Ce qui nous change des maires d’Issy lesMoulineaux et de Vanves. Il est bien sûr revenu longuement sur le projet de service universel pour lesjeunes, de la loi sur les universités, sur les déclarations de Laurent Wauquiez…

  • L’HOMME DE L’ANNEE A VANVES : GABRIEL ATTAL, LE DEPUTE QUI MONTE

    Pour le blog de Vanves au Quotidien, l’homme de l’année à Vanves est son jeune député, Gabriel Attal (LRM) élu en Juin dernier à l’âge de 28 ans dans la 10 éme circonscription des Hauts de Seine (Vanves-Issy) détenue par André Santini depuis le découpage de 1988. Avec ses collégues d’en Marche, ils ont renvoyé aux oubliettes le « vieux monde » politique, les uns vouant aux gémonies tous ceux qui ont voté pour lui parce qu’ils n’ont pas soutenu le jeune poulain du député sortant, les autres ayant pris leur partie en tentant de le draguer en vue des prochaines municipales

    Gabriel Attal n’en a que faire. Il poursuit sa route et finalement ne s’en tire pas trop mal au bout de six mois. Il est même devenu porte parole de La République En Marche, marque de confiance de Christophe Castagner. D’ailleurs il a l’habitude des plateaux TV et des stations de radio, l’Elysée l’ayant fait monté plusieurs fois au créneau pour défendre le président et désarmorcer par exemple, les propos dévastateurs d’Emmanuel Macronn sur l’audiovisuel « la honte de la République » devant les membres de la commission Culture et Education de l’Assemblée Nationale dont il fait partie. « Le Président de la République nous a demandé de travailler à une réforme profonde de l’audiovisuel public. J’ai mis en place un groupe de travail avec des collègues députés. Nous ferons des propositions au Gouvernement au mois de mars » a-t-il récemment annoncé.  Beaucoup de journalistes de la presse écrite rapporte ses propos dans leurs articles : « Nous ne menons pas une politique de petits ruisseaux, mais d’économies structurelle pour transformer le pays » expliquait -il à la Rentrée 2017 alors qu’il venait de se fracturer la main gauche lors d’un accident de scooter

    Il est un député « Whip » c’est-à-dire chargé de veiller à ce que les élus votent en fonction des consignes du parti dans sa commission. Il n’a pas d’état d’âmes comme certains de ses collégues, six mois après leur arrivée au palais Bourbon : « Ce qui nous unit, c’est le projet Macron » tonne t-il. Il fait parti de la dizaine de jeunes députés qui défendent sans état d’âme la politique menée par Emmanuel Macron et Edouard Philippe  mobilisable dans la minute et d’une loyauté sans faille, très proche de Castagner parce qu’il parle le même langage,  avec Sacha Houlié (Vienne), Paul Person (Paris), Pascal Séjourné  conseiller politique d’Emmanuel Macron. « Ils sont poussés par l’audace de la jeunesse, l’énergie. Ils ont un côté start-uper de la Nation. Mais ils agacent aussi beaucoup ! » note un observateur de la vie parlementaire

    Nommé rapporteur de la loi sur les universités il a vécu vraiment sa première expérience de député impliqué dans un débat, animant les auditions de la commission, puis participant de bout en bout au débat dans l’hémicycle. Très riche à ses dires. Tout le monde se souviendra longtemps de sa superbe réponse à une députée insoumise demandant le renvoi en commission du Plan Étudiants : «On n'est pas dans Astérix Mission Cléopâtre, vous ne construisez pas des universités en six mois ». Mais pas de trève à Noël, car il s’est attelé à la rédaction de sa première lettre de député que ses électeurs de la 10éme circonscription   recevront à l’occasion de la nouvelle année.  « Quand on est député, on n'a pas le droit de se plaindre. S’engager en politique c’est accepter certaines contraintes. C’est aussi n’avoir qu’un objectif : agir !» expliquait il sur un plateau TV.